1962 - 2062

1962  MASSACRES EN ALGERIE

2062  LES OULEMAS ONT LE POUVOIR EN FRANCE

 

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Sourate 60 – AL-MUMTAHANA - verset 4 –

Entre vous [les chrétiens- al-mushrikîna] et nous, [les muslims ] l'inimitié et la haine sont à jamais déclarées jusqu'à ce que vous croyiez en Allah, seul».

بَيْنَنَا وَبَيْنَكُمُ الْعَدَاوَةُ وَالْبَغْضَاءُ أَبَدًا حَتَّى تُؤْمِنُوا بِاللَّهِ وَحْدَهُ إِلَّا قَوْلَ إِبْرَاهِيمَ لِأَبِيهِ لَأَسْتَغْفِرَنَّ لَكَ وَمَا أَمْلِكُ لَكَ مِنَ اللَّهِ مِن شَيْءٍ رَّبَّنَا عَلَيْكَ تَوَكَّلْنَا وَإِلَيْكَ أَنَبْنَا وَإِلَيْكَ الْمَصِيرُ

Barbarie : en Algérie, j’ai vu de quoi étaient capables les musulmans

5 septembre 2024 Manuel Gomez TEMOIGNAGE 10

Cela s’est passé un 1er mars 1962, en Algérie. Cela semble très loin, mais en réalité c’est tout proche de nous.

Ne dites surtout pas : « encore l’Algérie » car non seulement la France connaît actuellement ce que furent les tueurs du FLN dont certains descendants sont aujourd’hui “chez nous… puisque nous étions chez eux”

Ce sont les mêmes barbares pour qui la vie d’un enfant, d’un bébé, ne vaut pas plus que l’égorgement d’une chèvre !

J’ai vu ce que faisaient les barbares en Algérie. J’ai vu les massacres en Afrique occidentale. J’ai vu ces mêmes scènes le 7 octobre en Israël. Je viens de lire ces 6 otages abattus par une balle dans la nuque par ces barbares du Hamas. J’ai lu ces plus de 80 civils abattus au Nigeria, toujours dans l’indifférence générale des nations européennes.

Ce ne sont pas les premiers, hélas, et ce ne seront pas les derniers.


MERS el-KÉBIR 1er mars 1962  

Mers el-Kébir sera le théâtre d’un massacre monstrueux commis sur des civils : une mère de 30 ans, une petite de 5 ans et un garçonnet de 4 ans.

C’est cette tragédie que je souhaite vous faire connaître ci-dessous.

Le 1er mars 1962 tombait un jeudi. Il faisait le temps même de la vie chez nous. Un air doux et léger, un ciel aux profondeurs bleues à qui le soleil réservait sa plus fastueuse débauche de lumière, une senteur subtile de jardin laissait supposer une journée radieuse.

Il était environ 11 h, un groupe de musulmans encadrés par des femmes fit irruption dans la conciergerie du stade de la Marsa, à Mers El-Kébir, tout près de la base militaire. Dans une véritable crise de folie meurtrière collective, ces hommes s’emparèrent de la gardienne, une Européenne de trente ans, Mme Josette Ortéga et, sans la moindre raison, à coups de hache, la massacrèrent. Couverte de plaies affreuses, dans un ultime effort, elle tenta de s’interposer entre les bourreaux déchaînés et son petit garçon, mais en vain. Les tortionnaires déments frappèrent encore, sous les yeux horrifiés du petit André, quatre ans, puis quand il ne resta plus qu’une loque sanguinolente, ils se saisirent de l’enfant et lui broyèrent le crâne contre le mur.

Leur forfait est accompli, ils s’apprêtaient à partir lorsque l’un des barbares se retourne et voit arriver une petite fille avec des fleurs à la main.  C’est Sylvette, 5 ans, qui est allée cueillir des fleurs.

Aussitôt il se rue sur elle, la roue de coups et pour l’achever, il la saisit par les pieds et la fracasse, tout comme son petit frère, contre un mur.

Quand M. Jean Ortéga, employé à la direction des constructions navales, franchit la grille du stade, le silence qui régnait le fit frissonner. D’ordinaire, ses enfants accouraient, les bras tendus dans un geste d’amour. Une angoisse indéfinissable le submergea. Il approcha lentement, regarda autour de lui… puis, là, dans la cour, un petit corps désarticulé tenant encore dans ses mains crispées des géraniums, la tête réduite en bouillie, une large flaque de sang noirâtre tout autour.

Ainsi débuta ce triste et sinistre mois de mars 1962 qui conduisit à l’exode de tout un peuple.

(Je n’ai pas voulu afficher les photos de ce massacre, elles sont trop effrayantes, trop inhumaines.)

Qu’il me soit permis de relater, afin de confirmer mon accusation (si nécessaire !) le précédent massacre d’El Halia, petit village minier près de Philippeville, où les Arabes et les Français cohabitaient en parfaite osmose, que le 20 août 1955 à 12 h, une katiba (bande de terroristes-égorgeurs du FLN), armée jusqu’aux dents, a massacré 123 habitants (71 Européens, 52 musulmans et 120 disparus).

Mais je laisse la parole à Marie-Jeanne Pusceddu, qui était sur place ce jour-là (Marie-Jeanne a été recueillie par les sœurs de Saint-Vincent de Paul à Lacanau-les-Bains (Gironde) :

**« Il était 12 h lorsque nous avons entendu des coups de feu et les youyous des mauresques. Tous les hommes travaillaient à la mine. Ma belle-sœur, Rosé, sa petite dernière, Bernadette (3 mois) dans les bras, et ses enfants, Geneviève 8 ans, Jean-Paul 5 ans, Anne-Marie 4 ans et Nicole 14 ans, sont venus se réfugier chez nous. Il y avait ma mère, mon frère Roland, 8 ans, mes sœurs Suzanne, 10 ans, et Olga 14 ans, et mon mari qui venait de rentrer pour déjeuner avec nous. Mon autre fils, Roger, 17 ans, travaillait à la mine.

*Les fellaghas ont fait irruption en cassant la porte à coups de hache. C’était Chérif qui le dirigeait. Chérif, le chauffeur de taxi, notre ami, lui qui avait assisté à notre mariage et était venu nous chercher à la gare à notre retour du voyage de noces. C’est lui qui commandait les fellaghas qui hurlaient : « Nous voulons les hommes ». Chérif a tiré en pleine poitrine sur ma pauvre mère avec son fusil de chasse. Elle est morte sur le coup, avec Roland dans ses bras, grièvement blessé. Rosé a été tuée dans le dos et son bébé écrasé contre le mur. Ensuite Chérif a tiré sur moi et j’ai reçu la balle à hauteur de ma hanche. Olga, ma sœur, a été violée puis assassinée et mon autre sœur, Suzanne, blessée à la tête (elle en porte encore aujourd’hui la marque).

*Toute la famille Azaï a été également massacrée à coups de couteaux, la sœur de ma mère, son mari, ses deux filles, dont l’une était paralysée, et son autre fille, qui arrivait de France en vacances, déchiquetée à coups de couteaux avec son bébé.

À la mine le massacre s’est poursuivi. Mon frère assassiné, mon cousin Julien également au restaurant. Pierrot Scarfoto à coups de fourchette et les testicules coupés et enfoncés dans la bouche, tout comme mon neveu, René. Mon père, sourd de naissance, blessé, s’est réfugié dans une galerie abandonnée où on ne l’a retrouvé mort que 15 jours plus tard. 13 membres de ma famille abattus ce même jour. »

**L’armée française est arrivée à 17 h. Tout était fini.

Manuel Gomez

Connaître le Coran :

https://www.torah-injil-jesus.com/pages/l-mushrikina.html

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