IBN KHALDÛN
HISTORIEN MUSULMAN DU XIV° siècle
« Quand une nation est peuplée d’Arabes elle a besoin de gens d’un autre pays pour construire. Le naturel farouche des musulmans en a fait une race de pillards et de brigands. Si les musulmans ont besoin de pierres pour servir d’appui à leurs marmites, ils dégradent les bâtiments afin de se les procurer. S’il leur faut du bois, ils détruisent les maisons pour en avoir. La véritable nature de leur existence est la négation de la construction, au fondement de la civilisation. Ils sont hostiles à tout ce qui est édifié […] En raison de leur nature sauvage, les musulmans sont des pillards et des destructeurs. Ils pillent tout ce qu’ils trouvent […] Les pays conquis par les musulmans s’écroulent. Les musulmans sont une nation sauvage aux habitudes de sauvageries invétérées. […] C’est leur nature de piller autrui. S’ils arrivent à la domination et au pouvoir royal, ils pillent tout à leur aise. Il n’y a plus rien pour protéger la propriété et la civilisation est détruite. »
Ibn Khaldûn : Discours sur l’histoire universelle, Sindbad, 1978, t. 1, page 294-301, cité par Anne-Marie DELCAMBRE, la grande islamologue :
La schizophrénie de l’Islam, p. 58
Repris par l’Abbé PAGES dans son livre : INTERROGER L’ISLAM - 1501 questions à poser aux musulmans – Editions D M M.- p. 306-307
Mustapha Kemal Atatürk (1881-1938) fondateur de la Turquie moderne.
« Depuis plus de 500 ans, les règles et les théories d’un vieux cheikh arabe et les interprétations abusives de générations de prêtres crasseux et ignares ont fixé, en Turquie, tous les détails de la loi civile et criminelle. Elles ont réglé la forme de la constitution, les moindres faits et gestes de la vie de chaque citoyen, sa nourriture, ses heures de veille et de sommeil, la coupe de ses vêtements, ce qu’il apprend à l’école, ses coutumes, ses habitudes et jusqu’à ses pensées les plus intimes. L’Islam, cette théologie absurde d’un bédouin immoral, est un cadavre putréfié qui empoisonne nos vies. » idem p. 311
Pape PIE II – Enea Silvio Piccolomini, [1405-1464] Lettre à Mehmet II p. 307
« L’Islam ne s’appuie pas sur la force des arguments, mais sur celle du glaive, comme s’il ne pouvait compter sur la discussion pour s’imposer et redoutait d’être battue en brèche. »
Le glaive, c’est le aya el seift, le verset du sabre de la sourate 9 – At-Tawba – verset 5
« Après que les mois sacrés expirent, tuez les associateurs - faqtulû-l-mushrikîna – où que vous les trouviez. Capturez-les, assiégez-les et guettez-les dans toute embuscade. »
Dans son ouvrage : L’Abrogeant et l’Abrogé, Ibn Khazima déclare à propos de ce verset :
« Dès l’origine, on a donné ce nom à ce verset, et tous les auteurs disent qu’il ordonne de combattre les idolâtres. Il abroge 113 passages du Coran, et même 114, d’après Ibn Hazm. » La théorie de l’Abrogeant et de l’Abrogé est donc une doctrine qui fait autorité dans l’exégèse du Coran. Il n’est pas permis de la méconnaître. Cf. sourate 8, 39 – sourate 2, 191-193