Le prophète a dit: "celui qui quitte sa religion, tuez le!".
"... Ne prenez donc pas d'alliés parmi eux, jusqu'à ce qu'ils émigrent dans le sentier d'Allah. Mais s'ils tournent
le dos, saisissez-les alors, et tuez-les où que vous les trouviez... "
D'après `Abd-Allah ibn Mas`ûd (qu'Allah soit satisfait de lui),
l'Envoyé d'Allah (pbAsl) a dit:
"Il n'est pas permis de verser le sang d'un musulman qui témoigne qu'il n'y a d'autre divinité qu'Allah et que je
suis l'Envoyé d'Allah, sauf dans ces trois cas: l'époux adultère, le coupable d?un meurtre et l'apostat qui
abandonne la communauté musulmane". Sahîh de Muslim: 3175
Sahih Bukhari Volume 6, livre 61, Numéro 577:
J?ai entendu le prophète dire, ?à la fin des temps, apparaîtront de jeunes gens aux idées folles. Ils parleront
bien, mais ils sortiront de l?islam comme une flèche sort de son jeu, leur foi ne dépassera pas leur gorge.
Ainsi, partout où vous les trouvez, tuez les, il y?aura une récompense pour ceux qui les tueront au jour de la
« Des musulmans peuvent-ils être vraiment français ? Exceptionnellement, oui. D'une manière générale, non.
Plusieurs dogmes fondamentaux musulmans s'y opposent ; avec certains il y a des accommodements ; avec
l'un, celui du Madhi, il n'y en a pas : tout musulman (je ne parle pas des libres-penseurs qui ont perdu la foi)
croit qu'à l'approche du jugement dernier le Medhi surviendra, déclarera la guerre sainte, et établira l'islam par
toute la terre, après avoir exterminé ou subjugué tous les non-musulmans. Dans cette foi, le musulman regarde
l'islam comme sa vraie patrie et les peuples non musulmans comme destinés à être tôt ou tard subjugués par
lui musulman ou ses descendants ; s'il est soumis à une nation non musulmane, c'est une épreuve passagère ;
sa foi l'assure qu'il en sortira et triomphera à son tour de ceux auxquels il est maintenant assujetti ; la sagesse
l'engage à subir avec calme son épreuve ; "l'oiseau pris au piège qui se débat perd ses plumes et se casse les
ailes ; s'il se tient tranquille, il se trouve intact le jour de la libération", disent-ils ;
Ils peuvent préférer telle nation à une autre, aimer mieux être soumis aux Français qu'aux Allemands, parce
qu'ils savent les premiers plus doux ; ils peuvent être attachés à tel ou tel Français, comme on est attaché à un
ami étranger ; ils peuvent se battre avec un grand courage pour la France, par sentiment d'honneur, caractère
guerrier, esprit de corps, fidélité à la parole, comme les militaires de fortune des XVIe et XVIIe siècles, mais,
d'une façon générale, sauf exception, tant qu'ils seront musulmans, ils ne seront pas Français, ils attendront
plus ou moins patiemment le jour du Madhi, en lequel ils soumettront la France.
De là vient que nos Algériens musulmans sont si peu empressés à demander la nationalité française : comment
demander à faire partie d'un peuple étranger qu'on sait devoir être infailliblement vaincu et subjugué par le
peuple auquel on appartient soi-même ? Ce changement de nationalité implique vraiment une sorte
d'apostasie, un renoncement à la foi du Madhi... »
D?après Ibnou Omar, l?envoyé d?Allah a dit : Il m'a été ordonné de combattre les hommes jusqu'à ce qu'ils
témoignent qu'il n'est d'autre divinité qu'Allah, et que Mohammed est Son Envoyé, qu'ils accomplissent la
prière rituelle, qu'ils acquittent la Zakat. S'ils exécutent ces choses, ils seront, à mon égard, garantis quant à
leurs personnes et à leurs richesses, à moins qu'ils ne transgressent ouvertement la loi de l'Islam, mais Dieu
réglera le compte de leurs intentions vraies". (cf. S. 2, 193)
association ? associateurs- mécréants ? il se peut que ? peut-être.