Le Coran est le seul livre sacré qui parle sans vergogne d'esclavage! Le musulman peut épouser quatre
femmes ; avec les femmes esclaves qu'il possède, il n'a pas besoin de prendre de gants :
" ... Il est permis d'épouser deux, trois ou quatre, parmi les femmes qui vous plaisent, mais, si vous craignez
de n'être pas justes avec celles-ci, alors une seule, ou des esclaves que vous possédez. Cela afin de ne pas faire
d'injustice (ou afin de ne pas aggraver votre charge de famille). " (4:3)
" Et quiconque parmi vous n'a pas les moyens pour épouser des femmes libres (non esclaves) croyantes, eh
bien (il peut épouser) une femme parmi celles de vos esclaves croyantes. Allah connaît mieux votre foi, car
vous êtes les uns des autres (de la même religion). Et épousez-les avec l'autorisation de leurs maîtres (Waliy)
et donnez-leur un mahr convenable; (épousez-les) étant vertueuses et non pas livrées à la débauche ni ayant
des amants clandestins. Si, une fois engagées dans le mariage, elles commettent l'adultère, elles reçoivent la
moitié du châtiment qui revient aux femmes libres (non esclaves) mariées. Ceci est autorisé à celui d'entre
vous qui craint la débauche; mais ce serait mieux pour vous d'être endurant. Et Allah est Pardonneur et
Miséricordieux . " (4:25)
Règles de conduite pour les esclaves :
" Ô vous qui avez cru ! Que les esclaves que vous possédez vous demandent permission avant d'entrer, ainsi
que ceux des vôtres qui n'ont pas encore atteint la puberté, à trois moments : avant la salat de l'aube, à midi
quand vous enlevez vos vêtements, ainsi qu'après la salat de la nuit ; trois occasions de vous dévêtir. En
dehors de moments, nul reproche ni à vous, ni à eux d'aller et venir, les uns chez les autres. C'est ainsi
qu'Allah vous expose clairement Ses versets, et Allah est Omniscient et Sage. » (24:58)
Dans le verset qui suit, Allah déconseille même d'être généreux avec ses esclaves!
" Allah a favorisé certains d'entre vous, plus que d'autres, dans la répartition de ses dons. Que ceux qui ont été
favorisés ne reversent pas ce qui leur a été accordé à leurs esclaves, au point que ceux-ci deviennent leurs
Sur un plan historique, il faut savoir que l'islam a diffusé dans le monde deux des pires fléaux qui l'aient
souillé : les guerres religieuses massives (qui n'existaient pas avant que l'islam ne sorte d'Arabie par la force
des armes) et la traite des Noirs. La société abbasside reposait sur l'esclavage ; on peut en dire de même de la
société ottomane qui enleva des milliers d'enfants européens (slaves entre autres) à leurs parents. Les négriers
arabes ont sévi en particulier sur la côte orientale de l'Afrique (Somalie) et au Soudan.
On peut lire dans le Quid : " Du VIIe s. au XXe s. traite opérée par les musulmans : plusieurs dizaines de
Voici un petit texte qui montre le sort des esclaves noirs à l'époque abbasside (considérée comme l'apogée du
Beaucoup de ces esclaves, qui servent comme domestiques dans les harems, sont castrés (ce sont les
eunuques) pour empêcher qu'ils ne fassent souche et parce que le réapprovisionnement est facile et bon
marché. Les Mille et une Nuits ne tarissent pas de commentaires brutaux ou salaces sur les relations entre
De nombreux esclaves noirs, appelés Zendj (d'un mot arabe qui désigne les Africains), travaillent très
durement comme man uvres agricoles dans les zones marécageuses du Chott al-Arab, au sud de l'Irak actuel.
En 869, n'en pouvant plus d'être mal traités, les Zendj de basse-Mésopotamie s'insurgent. Ils ne sont écrasés
qu'en 883 au prix de 500.000 à 2,5 millions de victimes! Cette révolte ébranle les fondations de l'empire arabe.
L'esclavage est du reste encore pratiqué aujourd'hui en terre d'islam. Les Noirs du Sud-Soudan sont réduits en
esclavage par les islamistes arabes du Nord. La traite des Noirs a été définitivement supprimée dans le monde
en 1963, les derniers états esclavagistes ayant été l'Arabie Saoudite et la Mauritanie musulmane. En fait, dans
la péninsule arabique, où la charia est appliquée (et donc les préceptes esclavagistes de Mahomet), les princes
perpétuent l'esclavage ; périodiquement, des affaires éclatent au grand jour et font scandale.
Un petit sommaire historique qui montre l'origine musulmane de la traite des Noirs :
"En 745 le général Omar, le nouveau gouverneur d'Egypte, intensifia la persécution des Chrétiens, mais le roi
Cyriacus de la Makuria réussit à stopper cette nouvelle attaque (Williams 1974:142-145). En 831 le roi
Zakaria, le nouveau monarque de la Makuria s'inquiéta à cause des chasseurs musulmans d'esclaves qui
envahissaient son pays (l'actuel Soudan). Il envoya une délégation internationale au calife de Bagdad, de
manière que ces violations du traité de paix fussent arrêtées, mais il ne reçut aucune aide (Williams
Le sultan Balbar d'Egypte continua à violer le traité de 651 (voire Sourate 9:1-4). Plus tard, en 1274, les
Musulmans de l'Egypte subjuguée, commencèrent à coloniser et à détruire l'Alwa, la Makuria et la Nobatia,
les 3 royaumes antiques chrétiens en Afrique. Les peuples de ces nations, autrefois indépendantes et
rayonnantes, furent vendus comme esclaves.
Alors que l'islam et la culture arabe se répandaient en Afrique, se diffusaient également l'esclavage et le
génocide culturel. On commença à faire la guerre pour avoir des esclaves africains. Kumbi Kumbi, la capital
du Ghana, fut détruite par les envahisseurs musulmans en 1076. Le Mali avait une "mafia" musulmane qui
"encourageait" les rois africains du Mali à embrasser l'islam. Cette "mafia" contrôlait les importants
caravaniers et les ports commerciaux de l'Afrique. Les musulmans réussirent à s'emparer des places les plus
importantes du gouvernement et commencèrent à changer l'histoire antique du Mali de façon que les
évènements préislamiques furent effacés. Pour des raisons de sécurité, le gouvernement du Ghana des Mossi,
conscient du pouvoir des commerçants musulmans, institua un département gouvernemental pour contrôler
l'espionnage musulman (Davidson,Wills et Williams).
La traite islamique des esclaves se déroulait également autour du Lac de Giad, dans les états musulmans de
Bagirmi, Wadai et Darfur (O'Fahley et Trimmingham 1962:218-219). Au Congo les négriers Jallaba
commerçaient avec les Kreish et avec les Azande, un peuple du nord (Barth et Roome). Également fréquentée
était la route qui suivait la ligne de partage des eaux entre le Nil et le fleuve Congo, où les négriers
arabes-musulmans (par exemple Tippu Tip du Zanzibar) arrivèrent des zones orientales de l'Afrique (Roome
1916, et Sanderson 1965).
Dans l'Afrique orientale, les promoteurs du commerce des esclaves étaient les peuples Yao, Fipa, Sangu et
Bungu, tous musulmans (Trimmingham 1969 et Gray 1961). Sur la rive du Lac Nyasa (appellé actuellement
Lac du Malawi) fut institué en 1846 le sultanat musulman du Jumbe avec le but précis de favoriser le
commerce des esclaves (Barth 1857 et Trimmingham 1969). En 1894 le gouvernement britanique évalua que
le 30% de la population de Hausaland étaient constitués d'ex-esclaves. Il en était ainsi aussi dans l'Afrique
occidentale française entre 1903 et 1905 (Mason 1973, Madall et Bennett, et Boutillier 1968). "