La crémation des corps, un acte d'une sauvagerie inouie
L'Église considère la pratique de l'incinération des cadavres comme « une pratique barbare, qui répugne non
seulement à la piété chrétienne, mais aussi à la piété naturelle envers les corps des défunts et que l'Église,
depuis ses origines, a constamment proscrite. »
Instruction de la Sacrée Congrégation du Saint-Office, 19 juin 1926
« Certainement c'est la plus poignante impression d'horreur que j'aie jamais éprouvée, telle que je ne tenterai
même pas de vouloir la rendre. Au seul souvenir de ce corps se tordant, de ce bras battant l'air, demandant
grâce, de ces doigts crispés et s'enroulant comme des copeaux, de ces jambes noires qui donnaient de grands
coups de pieds, ayant pris feu ainsi que des torches (un instant, je crus l'entendre hurler), il me court des
frissons, j'ai la sueur froide au front et rétrospectivement, je compatis au supplice de ce mort inconnu dont j'ai
entendu la chair crier et protester. »
Henri Lavedan, académicien, Questions actuelles, 1940
« C'est un acte de sauvagerie qui a pour but de faire disparaître le plus vite et le plus complètement possible la
dépouille mortelle de ceux qui nous sont le plus chers, et cela le jour même des obsèques, au milieu des
larmes de toute la famille. »
Mgr Freppel, revue des sciences ecclésiastiques, 1886
« Violenter le corps du défunt en le brûlant est un profond manque de respect. Quel fils brûlerait le corps de sa
propre mère ? Quel père le ferait pour son épouse ou ses enfants ? »
Abbé Pinaud, Le sel de la Terre, 1998
« Ce ne fut que dans le dernier quart du XIXè siècle que l'idée de la crémation prit quelque consistance en
Europe, lorsque les sociétés maçonniques obtinrent des gouvernements la reconnaissance officiel de ce rite.
C'est en Italie que s'ouvrit la campagne : la première crémation eut lieu à Milan le 22 janvier 1876.
En France, la chambre des députés adopta, au mois de mars 1886, un amendement à un projet de loi sur la
liberté des funérailles, d'après lequel tout majeur ou mineur émancipé pouvait choisir librement le mode de sa
sépulture, l'inhumation ou l'incinération. La loi du 15 novembre 1887 autorisa formellement les modes de
sépulture autres que l'inhumation. »
Abbé Pinaud, Le sel de la Terre, 1998
Dispositions du Code de droit canonique préparé par saint Pie X
et promulgué par Benoît XV en 1917:
p.1 Les corps des fidèles défunts doivent être ensevelis, leur crémation étant réprouvée.
p.2 Il est interdit d'utiliser pour les cadavres le procédé de la crémation. Toute stipulation en ce sens ne doit
pas être exécutée par les ayants cause du défunt. Si elle est insérée dans un contrat, un testament ou un acte
quelconque, elle doit être tenue pour non écrite.
p.1 Sont privés de la sépulture ecclésiastique, à moins qu'ils n'aient donné quelque signe de pénitence avant
n5) Ceux qui ont ordonné que leur corps soit livré à la crémation.
Ceux qui auront osé faire donner, par ordre ou par contrainte, la sépulture ecclésiastique à des infidèles, à des
apostats, à des hérétiques, à des schismatiques, ou à d'autres excommuniés ou interdits, contrairement au Can.
1240 p.1, contractent une excommunication latae sententiae' non réservée; ceux qui donneraient
spontanément la sépulture aux même personnes encourraient un interdit de l'entrée de l'église, réservé à
En bref, si vous voulez que votre âme aille en enfer, faites vous brûler !
Contrairement à l'opinion courante qui veut que la crémation soit SANS DOULEUR puisque le corps est
LA CREMATION provoque une douleur incommensurable à l'AME !!!
Pour une fois, les occultistes ont RAISON !
LA CREMATION provoque au corps et à l'âme une douleur qui dépasse toutes les douleurs qu'on a pu avoir
Le but de la Franc-maçonnerie est de NIER la RESURRECTION DES COPRS !!!
Toujours cette haine des paroles de l'Evangile !!!
"JE CROIS EN LA RESURRECTION DES CORPS"