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LE PECHE ORIGINEL
LE PECHE ORIGINEL
La mission de Jésus était avant tout de sauver tous les hommes et de les racheter en soldant leurs dettes. Et quelles dettes ! Seul, Jésus, Dieu fait homme, était capable de satisfaire pleinement à la justice divine pour l'injure que les hommes avaient faite à la souveraine Majesté par le péché originel. Devenus les esclaves du démon, Adam et Eve étaient damnés pour l'éternité, eux et leur descendance. Le péché avait fermé les portes du ciel que Jésus, en tant que Fils de Dieu et Dieu lui-même a pu rouvrir en venant sur cette terre. (Symbolisé par le coup de lance lui ayant ouvert le côté lors de la crucifixion.)
Ceci mérite un développement car il est primordial de bien comprendre le décret divin.
Le premier homme avait péché en désirant la science, sans vouloir rester sous la lumière de Dieu, ainsi qu’il ressort des mots du serpent qui lui promit la science du bien et du mal.
Dieu, offensé, aurait pu abandonner l’humanité à son triste sort de damnation. Ce n’eût été que justice. Mais cette solution n’aurait paru ni assez miséricordieuse, ni surtout assez glorieuse pour Dieu, la création de l’homme, ‘le chef d’œuvre’ des mains divines, semblant aboutir, en somme à un échec.
Dieu décida donc qu’il sauverait l’homme.
Mais comment ?
Le Très-Haut, infiniment bon, aurait pu réhabiliter l’humanité en pardonnant tout simplement son péché. Mais ce pardon eût été vraiment trop facile pour nous et trop peu majestueux pour Dieu.
Dieu aurait pu exiger que les hommes accomplissent des actes de réparation en considération desquels Il aurait pardonné. Mais les actes de ce « microbe révolté » n’ayant par eux-mêmes aucune valeur, Dieu se serait en somme résolu d’une autre façon à accorder un pardon sans condition.
L’Infinie Majesté, dans sa merveilleuse sagesse, décréta une mesure vraiment sublime de libéralité et de bonté, qui lui permettait à la fois de sauver l’homme, de sauvegarder les droits de justice et d’obtenir en outre une glorification parfaite de la part de la Création qui atteindrait totalement le but pour lequel elle avait été faite.
Dieu décréta que le « Fils », deuxième personne de la Très Sainte Trinité, deviendrait Prêtre.
C’est-à-dire que le Verbe, Fils de Dieu, s’abaisserait à la condition humaine, pour accomplir comme homme représentant toute sa race, un acte sacerdotal en l’honneur de la Très Sainte Trinité, par lequel, d’une part, Dieu serait souverainement loué, glorifié et remercié, et, d’autre part, l’humanité paierait sa dette et serait rachetée.
Ce plan s’accomplit sur l’ordre du Père avec l’aide du Saint-Esprit « ex voluntate Patris, cooperante Spiritu Sancto » comme l’affirme la liturgie de la messe tridentine. (celle que Satan et Luther n’aiment pas).
Ainsi Dieu va pouvoir, selon ses desseins éternels, tirer de la création la plus grande gloire possible, grâce au décret par lequel il décide de constituer Jésus-Christ, Homme-Dieu, son Prêtre officiel. C’est pourquoi Jésus peut dire :
« Car sans Moi, vous ne pouvez rien faire. » Jean 15, 5.
" De même en effet, que par la désobéissance d'un seul homme, tous ont été constitués pécheurs, de même, par l'obéissance d'un seul, Jésus-Christ, tous seront constitués justes. " (Rom. 5, 20)
" Il y a un seul Dieu et aussi un seul "Médiateur" entre Dieu et les hommes, Jésus-Christ homme qui s'est donné lui-même en rançon pour nous." (1Timothée 2, 5-6) (1 Cor. 15, 22). Jésus est « Médiateur » parce qu’il est à la fois homme et Dieu.
St Jean, ch. 2, v. 1 et 2 :
" Et si quelqu'un a péché, nous avons un avocat auprès du Père, Jésus-Christ, le juste. Il est lui-même une victime de propitiation pour nos péchés, non seulement pour les nôtres, mais pour ceux du monde entier."
Pourquoi ? parce que Jésus est mort pour nous sur la croix au Golgotha, à l'endroit même où Adam et Eve ont mangé le fruit de « l’arbre de vie. »
« Or Dieu notre Roi opéra le salut au milieu de la terre. » Ps. 74, 12
" Non, je n'ai rien voulu savoir parmi vous, sinon Jésus-Christ et Jésus-Christ crucifié."
St Paul, 1° épître aux Corinthiens 2, 2.
St Paul est mort martyre à Rome en 67.
" Vous reconnaîtrez à ceci l'esprit de Dieu : tout esprit qui confesse Jésus-Christ venu en chair est de Dieu; et tout esprit qui ne confesse pas ce Jésus n'est pas de Dieu ; c'est celui de l'antéchrist, dont on vous a annoncé la venue, et qui maintenant est déjà dans le monde. " (1 Jean 4, 3)
« Car plusieurs séducteurs sont venus dans le monde ; ils ne confessent point Jésus comme Christ venu en chair : c’est là le séducteur et l’antéchrist. » (2 Jean 7.) « synagogue de Satan » Apoc. 2, 7
Souvenez-vous de ce que disait le grand théologien, St Augustin, évêque d’Annaba, commentant ce chapitre 18 de la Genèse :
« Le Seigneur apparut un jour à Abraham en la vallée de Mambré. Abraham ayant levé les yeux, trois hommes parurent près de lui. ..Et il se prosterna en terre et dit : Seigneur, si j’ai trouvé grâce devant tes yeux, ne passe pas la maison de ton serviteur. » En méditant ces paroles, St Augustin s’écrie :
« Il en a vu trois, et ne les nomme pas Seigneurs (au pluriel) mais Seigneur (au singulier) parce que la Trinité est bien de trois Personnes, mais il n’y a qu’un seul Seigneur Dieu. » (Contra Maximum, III, c. XXVI)
« Faisons l’homme à notre image et à notre ressemblance. » Gen.1, 26
Dieu parle et pourtant il emploie le pluriel. « Faisons….notre…»
D’après St Jean Chrysostome, discours sur la Genèse 1, 26 : « Mais qui est alors celui à qui il dit : ‘Faisons l’homme !’ Le conseiller admirable, le puissant, le Dieu fort, le régent de la paix, le père du siècle futur, le fils unique Lui-même de Dieu…Car il ne dit pas :’à mon image et à ton image’, ou : ‘à mon image et à votre image’, mais : ‘selon notre image et notre unique ressemblance’. Or il n’y a pas une seule image de Dieu et des anges, ni une seule ressemblance. Car comment l’image et la ressemblance du maître et des serviteurs peut-elle être unique ?»
Le Christ a relevé lui-même la parole : « Le Seigneur a dit à mon Seigneur : ‘Assieds-Toi à ma droite, jusqu’à ce que je pose tes ennemis comme escabeau à tes pieds.’ » Ps. 109, 1. Le « siège à la droite » qui revient plus d’une fois dans le Nouveau Testament, signifie « la souveraineté du Fils, sa filiation par nature, et son égalité d’honneur avec le Père. » St Jean Chrysostome, homélie 71 sur St Matthieu.
« Le Seigneur m’a dit : ‘Tu es mon Fils, c’est moi qui t’engendre aujourd’hui.’ » Psaume 2, 7. Rappellerai-je que le message coranique reconnaît les psaumes de David ? S. 17, 57 – 21, 105. Ce psaume est chanté à l’Introït de la messe de Minuit. Lire aussi le Psaume 44.
La Sagesse ou Esprit-Saint. « Avant les siècles, le Seigneur M’a fondé au commencement….(…) Lorsqu’il disposait le ciel, J’étais avec Lui…(…) Tous les jours, à tout moment. Je me réjouissais devant sa face, lorsqu’ayant achevé l’univers, Il se réjouissait et éprouvait de la joie dans les fils des hommes. » Proverbes 8, 23-31
Pour plus de détails sur le Mystère de la Sainte Trinité, il est possible de se reporter au livre du Père Georges HABRA, (né à Halifax) : La foi en Dieu Incarné, Tomes 1 et 2.
« Ecoute, Israël ! L’Eternel notre Dieu, l’Eternel est unique. » Deut. 6, 4
« Car qui est Dieu, si ce n’est l’Eternel. » 2 Samuel 22, 32 – 1 Samuel 2, 2
« Nous avons un seul Père, Dieu. » Jean 8, 41
LA CREATION
PER CRUCEM AD LUCEM CHRISTI
Que conclure ? Il faut d’abord avoir une nette notion du
PECHE ORIGINEL.
« Au-dessus de tout être dans la Création est Adam. » Ecclésiast. 49, 16
« Le fait d’une chute originelle, telle que l’enseigne l’Eglise se conçoit difficilement ou même ne se conçoit pas du tout avec l’hypothèse d’un premier homme sans science, soit humaine, soit divine et d’une portée intellectuelle plus que limitée. Pour expliquer les responsabilités qui, en fait, ont été celles d’Adam, et les effroyables suites que l’intelligence de cet homme était ornée de connaissances exceptionnelles et que son libre arbitre était dans des conditions d’indépendance et de souveraine maîtrise dont nul autre depuis n’a approché parmi les hommes. » R.P. Pègues. Commentaire de la somme théologique de St Thomas d’Aquin.
Lettre du R.P. LE FLOCH, C.S. Sp
Le péché originel, dit cette grande lumière de Théologie qu’est le Cardinal Billot, a pour note distinctive qu’il est péché, non de la personne, mais de la nature. Et il fait une analyse profondément lumineuse de cette notion capitale du péché de nature. Dieu a voulu qu’en Adam, dès l’origine, la nature fût ornée de la grâce. Mais, et voici le point capital, Il a voulu que la grâce ornât la nature en Adam, non pas comme nature individuelle seulement, mais comme nature collective, si l’on peut dire ; qu’Adam la possédât, non comme individu seulement, mais comme propriété de l’espèce, comme un héritage familiale à transmettre avec la nature humaine et inséparable d’elle.
Et voici qu’Adam par son péché perd l’état de grâce qu’il avait non seulement à titre individuel, mais comme chef de l’humanité. En lui, ce n’est pas la nature individuelle seulement, c’est la nature humaine tout entière qui se trouve spoliée de ce qui était sa propriété spécifique et l’héritage familial puisqu’elle est tout entière en lui comme en son principe. Adam ne pourra communiquer ce qu’il a perdu, et s’il le retrouve pour lui, il ne le retrouvera pas pour les autres. Par sa faute, la grâce comme propriété spécifique, comme héritage familial est définitivement perdue. Ceux qui naîtront d’Adam naîtront par sa faute autrement que Dieu le veut et en ce sens, ils sont pécheurs. Non pas qu’ils soient censés avoir fait ce qu’Adam a fait, mais par ce que la nature humaine qui vient en eux y vient autre que Dieu la veut, celui qui l’a transmis alors n’ayant pu la garder telle que Dieu la lui avait donnée pour la communiquer : voilà le péché de nature. C’est le lumineux enseignement du Cardinal Billot.
On ne peut pas comprendre JESUS mort sur la croix si on nie le péché originel. N’est-ce pas là le but de la théorie évolutionniste ou darwinisme qui nie le péché originel et du fait même l’Incarnation du Verbe ?
Le Père Boulet, S.M., dans son livre Création et Rédemption (Ed. CLD, 1995, p. 204) démontre très bien que le dieu des évolutionnistes n'est nul autre que Satan :
" L'Eglise enseigne depuis toujours que Dieu a voulu révéler l'origine de ces désordres dans un livre inspiré, le livre de la Genèse, qui donne, sous une forme accessible à tout homme, une lumière irremplaçable sur l'origine du mal, de la souffrance et de la mort : un événement mystérieux, survenu aux origines de l'histoire a perturbé l'ordre voulu par Dieu et a détruit l'harmonie originelle. Tenté par Satan, l'homme a abusé de sa liberté et désobéi au commandement de Dieu. ( ... ) L'homme qui devait dominer sur tout le monde créé (Genèse, 1, 28) a perdu ce pouvoir et Satan, l'ange déchu, agissant par séductions, au point que le Christ parle de lui comme le "Prince de ce monde". Par contre, les .théologiens évolutionnistes affirment que les désordres dont nous souffrons sont inhérents à un monde en évolution, sont comme une donnée constitutive de la finitude du créé. Comment dès lors, découvrir malgré tout un Dieu infiniment puissant, sage et bon, dans ce monde hostile qui est l'œuvre de Dieu, si l'on adhère à cette vision évolutionniste ? Ce n'est plus l'ennemi, Satan, qui a semé l'ivraie dans le champ du Père où poussait le bon grain, c'est Dieu lui-même! (Matthieu XIII, 25) ( ... ) Ce n'est d'ailleurs pas seulement la vision de Dieu présent à ce monde qui est faussée, c'est la relation de l'homme à ce monde qui l'est aussi. Si les désordres, les malheurs de ce monde sont une loi intrinsèque à l'univers, les efforts de l'homme pour se prémunir contre eux ou s'en délivrer ne pourront être choisis et organisés de la même façon que s'ils sont envisagés selon leur vraie cause, une rupture d'alliance avec Dieu. La recherche des remèdes aux discordes, aux conflits, aux famines, aux guerres, aux maladies, etc... ne s'orientera pas dans le même sens selon qu'on souscrit à la première explication du mal ou à la seconde. Dans la première (évolution), la recherche portera sur les conditionnements physiques ou sociologiques du mal et s'accompagnera d'une sorte d'acte de foi et d'espérance en l'Evolution qui va toujours vers le progrès. Dans la seconde, on envisagera premièrement et principalement une véritable conversion du cœur de l'homme, un respect des lois de la nature, un retour à la fidélité à l'Alliance avec Dieu, sans pour autant négliger de tenir compte des conditionnements physiques ou sociologiques. Tel est le message constant des prophètes, qui parlant au nom de Dieu, ont sans cesse rappelé, tout au long de l'histoire de l'Alliance, la nécessité de cette conversion, de ce retour à Dieu.” (fin de citation)
Par la CROIX, nous allons à la LUMIERE. Ecoutons Saint Paul :
« Ce n’est pas pour baptiser que le Christ m’a envoyé, c’est pour prêcher l’Evangile, non point par la sagesse du discours, afin que la croix ne soit pas vaine. En effet, la doctrine de la croix est une folie pour ceux qui périssent ; mais pour nous qui sommes sauvés, elle est une force divine.» 1 Cor. 1, 17-25
« Pour moi, (Paul) Dieu me garde de me glorifier, si ce n’est dans la croix de Notre Seigneur Jésus-Christ, par qui le monde est crucifié pour moi, comme je le suis pour le monde. » Galates 6, 14.
« Car Dieu a voulu que toute la plénitude habitât en lui (Jésus) et il a voulu réconcilier par lui (Jésus) toutes choses avec lui-même, celles qui sont sur la terre, et celles qui sont dans les cieux, en faisant la paix par le SANG DE SA CROIX. » Colossiens, 1, 19-20.
« Donc, nous aussi, puisque nous sommes environnés d’une si grande nuée de témoins, rejetons tout ce qui nous appesantit et le péché qui nous enveloppe, et courons avec persévérance dans la carrière qui nous est offerte, les yeux fixés sur JESUS, l’auteur et le consommateur de la foi, lui qui, au lieu de la joie qu’il avait devant lui, méprisant l’ignominie, a souffert la croix et ‘s’est assis à la droite du trône de Dieu.’» Hébreux 12, 2-3. Lire Philippiens 2, 5-11.
Transmission du péché originel. Canons 1 et 2 de la session V du Concile de Trente.
" Si quelqu'un ne reconnaît pas que le premier homme, Adam, ayant transgressé dans le paradis le commandement de Dieu, a perdu sur le champ la sainteté et la justice dans laquelle il avait été établi ; que par l'offense d'une telle prévarication, il a encouru la colère et l'indignation de Dieu, par la suite la mort dont Dieu l'avait auparavant menacé, et enfin, avec la mort la captivité sous le pouvoir de celui qui eut ensuite l'empire de la mort, c'est-à-dire du démon ; et qu'ainsi Adam tout entier, par cette faute, selon le corps et selon l'âme, a été changé en pire ( in deterius commutatum, a vu empirer sa situation ) : qu'il soit anathème.
" Si quelqu'un affirme que la prévarication d'Adam a nui au seul Adam, et non à sa race ; que la sainteté et la justice reçue de Dieu, qu'il a perdue, il l'a perdue pour lui seul, et non pour nous aussi ; ou que, souillé par son péché de désobéissance, il n'a transmis au genre humain que la mort et les peines corporelles, mais non aussi le péché, qui est la mort de l'âme : qu'il soit anathème. " Et le Concile ajoute :" Parce que ce serait contredire la parole de l'Apôtre : " Voilà pourquoi, de même que par un seul homme le péché est entré dans le monde et par le péché la mort, et qu'ainsi la mort a passé à tous les hommes parce que tous ont péché." (Romains 5, 12).
Telle est la foi catholique : Adam a transmis à ses descendants, non seulement la mort et les châtiments qu'il avait encourus, mais encore le péché, la perte de la sainteté et de la justice, la mort de l'âme. De là, saint Paul affirmant que nous sommes par notre nature enfants de colère " De ceux-là nous étions tous, nous aussi, quand nous nous comportions jadis suivant les convoitises de notre chair, faisant les volontés de la chair et de nos pensées, et nous étions voués par nature à la colère, tout comme les autres." (Ephésiens 2, 3). De là, le baptême donné aux petits enfants, quoiqu'ils n'aient pu par eux-mêmes commettre encore rien de coupable, afin de purifier en eux par la régénération ce qu'ils ont contracté par la génération. (Concile de Trente, session V, canon 4.) Ce dogme est un des fondements du christianisme : sans lui, la Rédemption du Christ n'a plus de sens, et la morale chrétienne disparaît aussi bien que la foi.
(Exposé de la foi catholique du Père GIRODON – 1898. p. 208.)
OFFERTOIRE DE LA MESSE TRADITIONNELLE
Ô Dieu, qui avez merveilleusement créé la dignité de la nature humaine et qui l’avez réformée plus merveilleusement encore, accordez-nous, par le mélange symbolique de cette eau et de ce vin, d’avoir part à la divinité de Celui qui a daigné revêtir notre humanité, Jésus-Christ, votre Fils, Notre Seigneur, qui, étant Dieu, vit et règne avec Vous, en l’unité du Saint-Esprit, dans tous les siècles des siècles. Ainsi soit-il.
Nous vous offrons, Seigneur le calice de notre rédemption, en suppliant votre bonté de le faire monter comme un parfum suave, en présence de votre divine Majesté, pour notre salut et celui du monde entier. Ainsi soit-il.
C’est avec un esprit humilié et un cœur contrit, que nous vous demandons, Seigneur de nous recevoir. Que notre sacrifice s’accomplisse aujourd’hui en votre présence, de telle sorte qu’il vous plaise, Ô Seigneur notre Dieu.
Venez, Sanctificateur tout-puissant, Dieu éternel, et bénissez ce sacrifice préparé à la gloire de votre saint Nom. Ainsi soit-il.
LECTURE CONSEILLEE :
LE SEL DE LA TERRE N° 102
LE PECHE ORIGINEL CHEZ LES ENFANTS D'ADAM
Ecrire à :
LE SEL DE LA TERRE - Couvent de la Haye-aux-Bonshommes
49240 - AVRILLE
Prix du numéro 102 : 15 €
REVUES CREATIONNISTES :
SCIENCE & FOI – revue du CESHE – site : http://www.ceshe.fr
CESHE France – BP 1055 – 59011 – LILLE cedex –
Le cep - http://le-cep.org/
CEP – 16, rue d’Auxerre – 89460 BAZARNES
Association Jean CARMIGNAC (chez les Editions F.X. de Guibert) 10 rue Mercœur- 75011 Paris -
Site : www.abbe-carmignac.org
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